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Les plus belles comptines italiennes étaient fort attendues ! Il a été réalisé dans le même esprit que le reste de la collection. Ainsi vont se répondre avec humour Picnicdouille et Ambaraba cici coco, A beli bela roi des papillons et Farfallina bella Bianca, Polichinelle monte à l’échelle et Mortadella e pan biscotte ou encore Sardine et crocodile et Il ragno la moscaà Et l’on retrouve avec bonheur les personnages phares de l’imaginaire italien : la Befana, Polichinelle, la Zia di Forlà dans un livre-disque aux accents chauds et toniques ! Nathalie Novi et Aurélia Fronty se partagent de pleines pages d’illustrations au rythme dansant ! Les bestiaires délicats d’Aurélia répondent aux enfants virevoltant de Nathalie. L’ensemble est magnifique, tout en émotions. Les 30 comptines sont interprétées avec beaucoup de gaîté par des enfants bilingues. Les musiques sont variées, les arrangements drôles et l’ensemble donne vraiment envie de chanter !

Les Tambours du Bronx est un groupe de percussions urbaines français formé en 1987. Leurs concerts ont pris une identité, créant leur musique en frappant violemment sur des bidons, en suivant une scénographie précise. Leur musique est un mélange énergique d'indus, afrobeat, rock, techno et world music. Ils sont 18 musiciens sur scène, utilisant sons synthétiques et samples au service d'une rythmique très puissante. Ce subtil mélange en a fait une des références internationales en percussions expérimentales et en musique industrielle.

LES VOIX BASQUES est la réunion de la chanteuse Anne Etchegoyen, très connue au Pays Basque et du choeur d'hommes Aizkoa, qui participe à de nombreuses manifestations dans le Sud-Ouest. Anne Etchegoyen et le Choeur Aizkoa se produisent régulièrement ensemble. Avec LES VOIX BASQUES, Anne Etchegoyen et le choeur Aizkoa nous offrent un sublime album, dans lequel les chants traditionnels basques trouvent une modernité envoûtante. Le premier extrait, Hegoaok, évoque, à travers un oiseau, la liberté et les somptueux paysages du pays basque. Un deuxième titre : Pachama avec PATRICK FIORI, évoque la Terre Mère, avec ses douleurs et ses splendeurs Critique Malgré l'aspect toujours un peu artificiel d'un projet labellisé « pub TV », Les Voix Basques a le grand mérite de faire sortir le chant basque traditionnel d'une vocation régionale où il sommeille volontiers. Sans faire injure au choeur d'hommes Aizkoa, on peut aussi dire que ce disque permet à Anne Etchegoyen de toucher un très large public. Cette découverte clé en mains via d'importants moyens publi-promotionnels est heureusement au service d'une bonne cause, à savoir le talent pur et la voix limpide d'Anne Etchegoyen. Oeuvre de vulgarisation, Les Voix Basques est cependant moins personnel que les précédents albums d'Anne Etchegoyen qui renouvelaient parfois avec audace la tradition par des apports latinos-américains. Ce fait est compensé par la force des voix mâles d'Aizkoa qui amènent une puissance typiquement basque à l'album. Le festif « Peña Baiona » est là pour rappeler que la convivialité n'est pas un vain mot au Pays basque, dans un registre similaire « Eriko Festa (La Fête du village) » souligne l'importance de la communauté dans cette terre rude. Le traditionnel « Ongi Etorri (Bienvenue) » dit la tradition d'accueil des Basques, leur ouverture sur l'autre pourvu qu'il les respecte en retour. Mieux qu'un souvenir de vacances, Les Voix Basques a le bon goût d'être suffisamment authentique pour ne pas être caché honteusement une fois l'automne venue. Francois Alvarez - Copyright 2017 Music Story

Kristen Noguès, née le 14 mars 1952 à Versailles et morte à Brest le 5 juillet 2007, était une musicienne et compositrice française d'origine et de culture bretonne. Elle fut, selon Bertrand Dupont, « la plus brillante compositrice bretonne ». Durant son enfance en Île-de-France, elle démarre par apprendre le piano, la harpe celtique n'étant pas proposée aux débutants, et après sa première année, elle entend pour la première fois une harpe celtique à l'occasion d'un récital donné par Denise Mégevand. Peu après, elle suit les cours de celle-ci, la professeur d'Alan Stivell qui utilisait les arrangements, méthodes et exercices qu'elle lui avait écrit.

Nusrat Fateh Ali Khan, né le 13 octobre 1948 à Lyallpur (aujourd’hui Faisalabad), Pendjab pakistanais et mort le 16 août 1997 à Londres en Angleterre), est un musicien pakistanais, maître de qawwalî, un style musical soufi. Nusrat Fateh Ali Khan ouvre cet album alors qu'il ouvrait souvent ses spectacles en direct, en appelant Dieu dans la forme d'Allah pour venir bénir le rassemblement avec sa présence. Car c'est le seul but de la question: atteindre Dieu par la musique, par sa voix. Et cette collection de chansons de dévotion et d'amour est énoncée dans cet esprit. Contrairement à certaines des versions de Khan sur l'influence occidentale, telles que Mustt Mustt et Night Song , les chansons sont présentées ici avec une instrumentation minimale (principalement harmonium et tabla) dans la forme d'appel et de réponse traditionnelle, avec Khan en chantant une ligne qui fait écho Par le parti des musiciens qui partage la scène avec lui. Étonnamment accessible et captivante, vous ne devez pas être musulman ou chercheur de quelque nature que ce soit pour reconnaître le pouvoir de cette musique. Essayez simplement de ne pas marcher et tordre au rythme. Pariez, vous ne pouvez pas. Avec la répétition de certaines phrases et syllabes, la musique de qawwali est conçue pour amener les musiciens et les spectateurs à un plan de réalité plus élevé, un état d'existence presque en transe. Car quand la voix de Khan s'élargit vers le ciel, elle s'élargit pour vous conduire, vous êtes emporté sans une seconde pensée. C'est pourquoi, avant sa mort en 1997, Khan était considérée comme l'étoile la plus brillante de Qawwali, le maître de cette forme d'art.

Luz Casal, (María Luz Casal Paz) est une chanteuse espagnole née le 11 novembre 1958 à Boimorto, en Galice, mais ayant grandi dans les Asturies. La chanson mexicaine Piensa en mí, composée en 1937 par Agustín Lara régulièrement diffusée sur les ondes, évoque le film de Pedro Almodóvar dont elle était l’emblème lors de sa sortie en 1991 : Talons aiguilles. Pour beaucoup, elle est également indissociable de la voix chaude et rocailleuse qui l’interprète, celle de Luz Casal. Or, si le nom est connu, l’artiste, quant à elle, reste un mystère pour la plupart des francophones. Luz, comme l’appellent les Espagnols, n’est pourtant pas la voix d’un seul succès, mais une artiste multifacettes de talent. Auteur-compositeur-interprète, elle passe des rythmes rock des années 1980 aux ballades intemporelles. Découverte en 1980 avec un titre à la sonorité rock prononcée, elle enchaîne durant les années suivantes les douces complaintes amoureuses et les atmosphères pop-rock dynamiques, avant de signer en 2004 son dixième album, où ressort plus que jamais son intérêt pour la France. En effet, le titre phare de l’album est une reprise de Duel au soleil d’Étienne Daho (Un nuevo día brillará) et son interprétation d'Octobre de Francis Cabrel (Octubre) a été saluée unanimement par la critique.

Takfarinas, de son vrai nom Ahcène Zermani, est un chanteur et musicien algérien de musique kabyle. Il est né le 25 février 1958 à Tixeraine, dans la banlieue d'Alger. Fils de Mohand Zermani et Fatima Dgui, il vit en France depuis 1994. Ses textes rendent hommage à la culture kabyle et amazighe, mais s’en échappent quelquefois pour aller vers des appels engagés qui constituent sa signature. Le style nouveau dans lequel il s'est investi s’appelle le yal. Il contribue à populariser la musique kabyle méconnue du grand public en Europe.

Bon nombre de thèmes chantés par Daniel Melingo dans cet album sont signés par des poètes et des paroliers du tangoqui, s'identifiant à la souffrance et la gouaille du peuple, utilisent don langage. Ces tangos nous parlent du faubourg, du quartier, du cabaret, de la misère, de la maladie, de la tristesse, de la colère... Ecrits en "lunfardo" (l'argo argentin) et pour qu'il n'y ait aucun doute possible, ils s'écartent de tout "académisme". Meligo compose ses propres tangos et, de plus, met en musique des poèmes oubliés de Enrique Caledonio Flores, Dante A. Linyera, Carlos de la Pùa et bien d'autres. Fidèle à lui-même, il les chante comme s'il parlait, en insufflant le rytme de sa propre respiration. Il le fait avec une angoisse étouffée et parfaitement crédible qui parvient à nous émouvoir.

La banque sur le Mali étant la prochaine Cuba dans la capacité de franchissement du marché, Putumayo retire tous les arrêts de sa dernière compilation spécifique au Mali. Les stars anciennes et les nouveaux favoris critiques sont ici, couvrant tous les aspects de la musique de la nation de la traditionnelle à l'électronique. Habib Koité , déjà dans l'étable Putumayo, contribue à une paire de pistes contemporaines basées sur la guitare. Le vieil blues Boubacar Traoré , ainsi que Idrissa Soumaoro , depuis longtemps des Ambassadeurs , apportent une piste qui montre le style de blues West African. Toujours dans la veine du blues, Ramatou Diakité vient de l'extrémité sud du pays. Une rareté relative dans les albums de l'Afrique de l'Ouest est l'influence du Sahara, mais ici, un groupe de Touareg fait une apparition avec une bataille qui rendrait Ali Farka Toure fière. Le sublime Keletigui Diabate montre un original sur le balofon - un peu plus lent que certains de ses plus anciens, mais l'homme a enregistré celui-ci à 70. Quelque part près de la fin de l'album, Issa Bagayogo lance une excellente piste de fusion, comme Mamou Sidibe . Les deux fournissent un regard très encourageant sur ce qui est encore à venir du pays (bien que Bagayogo ait déjà quelques hits sous sa ceinture). Un peu au-dessus de la largeur habituelle d'un album Putumayo, et d'un calibre exceptionnel musicalement autour.

Découvert en 2005 avec Sigil, confirmé trois ans plus tard avec Number one bus, le talent de Nuru Kane repose sur une synthèse originale entre les nombreuses musiques qui composent son ADN, nomade en l'âme, tout à la fois d'ici et de làbas. Sept ans après son dernier disque, Exile, le revoilà, tel qu'en lui-même, mais avec une nouvelle identité sonore : s'il s'inscrit toujours dans le sillon de la pensée des Bayefall, confrérie soufie de son Sénégal natal, il se convertit cette fois à l'énergie des sonorités urbaines, mêlant dans un même élan le m'balax, le reggae, le gnawa, le gospel, aux programmations synthétiques et autres effusions électriques. Voilà pourquoi il a choisi comme titre de ce nouvel opus Mayam, "ressources" en wolof. Plus qu'un nom, mieux qu'un son, cela sonne comme une note d'intention, cela donne comme une direction.

Boubacar Traoré (né en 1942 à Kayes, au Mali) est un chanteur, guitariste et compositeur de chansons. Il est surnommé Kar Kar («casser-casser»), en référence au dribble du football qu'il pratique assidûment et avec un certain talent pendant sa jeunesse. Citation «Boubacar Traoré est un de ces hommes solides qui reflètent l'histoire d'un pays, les espoirs et les désespoirs d'un peuple. Quelle grâce qu'il ait gardé sa voix, et qu'une chanson comme Soundiata, qui a fait rêver toute une génération, soit enfin enregistrée. Quelle chance de retrouver cet enfant de l'indépendance malienne muri et, malgré toutes ses mésaventures, proche des petits plaisirs de la vie. Pas de Mercedes ni de villa aux lustres dorés pour ce bluesman malien, mais une mobylette et une concession dans les collines de Bamako où il vit avec les enfants de Pierrette et où, le soir, il prend sa guitare et chante sur le monde qui l'entoure.» ù Lieve Joris Source Wikipédia

Le destin de Miloš, guitariste de 28 ans et citoyen du minuscule et turbulent Monténégro, est unique. Sa passion pour la guitare lui est venue à 8 ans, lorsque son père lui fit entendre un disque d'Andrés Segovia jouant Asturias d'Albéniz. Miloš s'inscrit alors dans une école de musique où il apprend à jouer sur la vieille guitare poussiéreuse de la famille (à laquelle il manque d'ailleurs quelques cordes !). Faisant de rapides progrès, il fait sa première apparition en public à 9 ans avant de remporter à 11 ans son premier concours national. Il devient alors un interprète vedette à la télévision et à la radio nationale. A 16 ans, il poursuit son rêve et auditionne pour la Royal Academy of Music de Londres, où il est admis comme boursier. Son talent, son charisme et sa ténacité l'ont conduit jusqu'à Deutsche Grammophon chez qui, il enregistre aujourd'hui son premier album : Mediterraneo. Avec ce disque, Miloš affiche l'ambition de populariser et moderniser la guitare classique. Des plus belles compositions d'Albéniz, Tárrega et Granados en passant par l'incontournable Jeux interdits, Miloš a une histoire particulière avec chaque morceau de ce disque.

Kimintang Mahamadou Cissoko, plus connu sous le nom de Ablaye Cissoko, est un auteur-compositeur et musicien sénégalais né en 1970 à Kolda. Durant les années 2000, Ablaye Cissoko enregistre deux albums studio avec le producteur Patrick Faubert. Par la suite, il collabore avec d'autres musiciens, dont le trompettiste allemand Volker Goetze, le musicien marocain Majid Bekkas et le saxophoniste français François Jeanneau. African Jazz Roots, sorti en 2012, est réalisé avec le batteur Simon Goubert. L'année suivante, les musiciens sénégalais de l'ensemble Le Corda Ba participent à l'enregistrement de l'album Mes racines. Une voix envoutante et un doigté sophistiqué pour un dialogue musical comme un remède précis et précieux en ces temps d'incompréhension ? Une musique unique et délicate (Didier Varrod INTER)

L'album Mille Et 2 Nuits en vente par Elie Attieh a été publié le 22 février 2007 sur le label EMI Arabia. La musique de CD Mille Et 2 Nuits contient un disque unique avec 13 chansons.