"Atea", c'est "la porte" en langue basque. Celle qui rassure, qui claque, qui invite ou intrigue. Témoin, gardienne d'histoires de vies, d'humeur et de sueur. Entrer ou sortir. S'arrêter. Traverser. Passer d'un monde à un autre, de l'ici vers l'ailleurs, du souvenir à la destination rêvée, du réel à l'imaginaire, jusqu'à l'inconscient. C'est avec Pierre Durand à la guitare et Joce Mienniel aux flûtes que Didier Ithursarry nous invite dans les méandres de son intimité et de ses inspirations. Frapper à la porte d'un troquet, d'une ferme basque, d'un palace, d'une maison du quartier Lapa à Rio, d'une habitation du Pays Dogon, ou à la porte du 221B Baker Street à Londres. Entrez.