Quand des cavaliers en costumes de Croisés font irruption dans un grand musée New Yorkais avant d’y semer la terreur, il y a de quoi mettre le FBI sur les dentsà et faire saliver le lecteur grâce à un savant mélange d’action, d’histoire et d’ésotérisme !
Tout commence à New York, au MET (Metropolitan Museum of Art), lors du vernissage d’une exposition qui réunit tout le gratin de la Grosse Pomme et présente les trésors du Vatican. Soudain, à la surprise générale, quatre cavaliers habillés d’un costume médiéval fendent la foule. Tout le monde croit à une mise en scène et s’extasie sur la prestance des figurants. Quand soudain, c’est la panique : les cavaliers entrent dans le Musée et sèment la désolation autour d’eux avant de repartir comme ils sont venus. Une archéologue présente sur les lieux, la sympathique et séduisante Tess, a assisté en direct à la scène. Elle a même entendu l’un des agresseurs prononcer une phrase mystérieuse : Veritas Vos Liberabit. Il n’en faut pas plus pour conduire l’agent du FBI, Sean Reilly (sympathique et séduisant, lui aussi), sur les traces du légendaire Trésor des Templiers. A se demander si celui-ci n’est vraiment qu’une simple légende propre à enflammer les imaginations des historiensà Le dernier Templier commence comme un thriller et se poursuit comme un roman noir mâtiné d’histoire et d’ésotérisme, laissant le lecteur impatient de connaître le dénouement de l’intrigue. Adapté d’un roman écrit par le scénariste de la bande dessinée, vendu à 5 millions d’exemplaires et traduit en 38 langues, Le dernier Templier surfe avec réussite sur la vogue actuelle du polar ésotérique. Le trait sans fioritures de Lalor - pseudonyme de Miguel, dessinateur de la série Myrkos û se révèle d’une efficacité redoutable qui sert à merveille le scénario de Khoury, lequel dose avec justesse les ingrédiens indispensables : une pincée d’action, un zeste de romantisme et un poil de mystère, le tout donnant naissance à un premier tome prometteur. La suite, vite !